jeudi 30 août 2007

En route pour le Trans sibérien

Nous profitons d'un spot wifi gratuit dans un "food court" au dernier étage d'un centre commercial à deux pas de notre logement.
La connexion est désespérément lente mais on ne va pas se plaindre.

Les horaires de trains sont établis de façon à faciliter la vie des Moscovites, les grandes lignes du trans sibérien partent en début de soirée de Moscou, comme Nijni Novgorod est à 7h de train, nous devrons attendre 3h55 cette nuit pour monter.

Une nuit difficile en perspective, espérons que la salle d’attente sera à peu prés confortable.

Le trajet durant 78h, nous ne donnerons pas de nouvelles avant le 03 septembre au mieux.

mercredi 29 août 2007

Nijni Novgorod

Une ville parfaitement adaptée à la flânerie : de taille humaine, pourvue de très beaux édifices, à l’ambiance agréable et contenant de très belles surprises, comme cette église sortie tout droit de chez Hansel et Gretel avec bulbes en sucre d’orge ou cette autre complètement perdue entre les immeubles.

lundi 27 août 2007

Des nouvelles du monde ?

Difficile d’avoir des nouvelles du monde ici – les kiosques sont truffés de journaux mais en russe uniquement, et ne disposent pas comme chez nous de panneaux avec les grands titres et des photos, les connexions Internet dont on a disposé ne nous ont permis que de poster notre blog, et encore un quart des articles préparés à peine, et la demi-heure de BBC au petit déj’ hier ne nous en a pas appris beaucoup sinon que ça fait dix ans que Lady Di est décédée. Ah, si, on a lu le Moscow Time, quotidien imprimé en anglais pour les expatriés de Moscou, qui résume en trois pages les principales nouvelles ; et quelles nouvelles ! Ce qui défraie la chronique, c’est Vladimir Poutine en vacances avec Albert de Monaco et qui a ôté sa chemise pour une séance photo devant quelques journalistes. Les clichés ont visiblement fait la une de tous les journaux, du plus frivole au plus sérieux, avec des interrogations aussi existentielles que « ce torse nu annonce-t-il la décision de Poutine de ne pas quitter la scène politique comme promis » (sic !!). Un sondage d’un Gala ou Paris Match local annonce que la femme russe a été séduite, voire rendue folle par ce torse galbé, avec une pointe particulière chez la ménagère de plus de cinquante ans – ce qui confirme définitivement que je ne suis ni russe, ni ménagère de plus de cinquante ans. Bref, les médias russes ressemblent terriblement aux médias français en temps estival : rien à se mettre sous la dent, du coup, on en fait tout un foin...

dimanche 26 août 2007

Isbas, datchas, en veux-tu ? en voilà !

Il semble (et est) poussif et hors d’âge, mais ce bus nous a finalement conduit sans encombre jusqu’à Souzdal, à quelques trente kilomètres de Vladimir.
Tout petit village où il semblerait qu’il y ait autant d’églises que d’habitants ou presque – je vous raconte pas le nombre de bulbes… - et trois fois plus de touristes encore. Mais surtout, village essentiellement construit de maisons en bois, en bon état et encore habitées aujourd’hui. Il y a quelques siècles de cela, il a été décrété que tout bâtiment nouvellement construit ne pouvait dépasser deux étages (pas plus haut que les églises en somme), ce qui fait que l’extension de la ville s’est plutôt faite en largeur qu’en hauteur, et que nombre d’anciens édifices sont restés intacts. Et incroyable, Staline n’est pas revenu sur cette loi pour bâtir quelques centaines de piscine ou quelques barres d’immeubles.

samedi 25 août 2007

Vladimir

Un peu de tourisme dans la ville : au programme, balade dans les rues bordées de jolis édifices et deux superbes églises
- la Cathédrale de la Dormition ou Cathédrale de l’Assomption (au bon vouloir du traducteur), avec des fresques du célébrissime Roublev ; je crois qu’on a atteint tous les deux le point de saturation, en terme de représentations graphiques religieuses, car les fresques en question ne nous ont pas impressionné outre mesure…
- … mais ouf, on n’est pas encore complètement blasés, car on arrive à rester scotché d’admiration devant la cathédrale Saint Dimitri de Salonique, peut-être parce qu’elle diffère un peu de ses consœurs : elle est couverte de sculptures, bas et haut reliefs (ça change des icônes !)

Le parc jouxtant les églises est LE coin de photos des mariages et il y en a un certain nombre en ce samedi ensoleillé – on en verra défiler au moins une dizaine, toujours le même rituel : mariée en robe meringue-chantilly, témoin avec grande bannière rouge type Miss ou Mister Russie, et alcoolisation très très poussée, même dès quatorze heures. De l’hydratation mais avec éthylisme très marqué cette fois.

vendredi 24 août 2007

Vladimir en Lada

C’est Evgueni qui nous attend à la gare avec sa Lada 2105 hors d’âge mais très bien conservée, une ‘charmante madame’ comme il dit.

Difficile de communiquer, il parle moins bien l’anglais que Fred le russe mais en ajoutant nous notions respectives d’allemand on y arrive.

Evgueni conduit à la russe, sans égards pour les piétons, dépassements par la gauche ou la droite, usage du clignotant très limité et brusques accélérations (si, si, c’est possible avec une Lada !) suivies de freinages d’autant plus sévères.

Nous arrivons dans un quartier d’immeubles bien déglingués c'est-à-dire standard pour le pays, l’appartement est à l’avenant, planchers et murs ondulent, le fil à plomb devait être en panne à cette époque là. Par contre c’est très propre, Lisa, la maitresse de maison y veille.

Lisa fait aussi les meilleurs petits déj du voyage jusqu’à présent ! Sur la photo, des « cirniki », sorte de crêpes hyper-épaisses au fromage frais, à manger avec de la confiture de groseille, ou ici, du yaourt (histoire de compléter en laitages…) - le tout avec du thé, du café, des fruits, du pain, du fromage, de la viande, de la salade, une omelette parfois…

Départ pour Vladimir

Mission accomplie, on peut repartir : notre quota de bulbes dorés est atteint, nos jambes sont bien en coton, et notre pastèque (de 7kg tout de même) est terminée – on peut quitter Moscou pour d’autres aventures.

Nous espérons trouver un peu plus de fraicheur à l’est, à Vladimir au km191 du trans-sibérien.

Poupées russes version moscovite estivale (en russe vacances se dit « caniculi » et c’est justifié pour nous !)


jeudi 23 août 2007

Bulbes dorés toujours

Dernier jour de visite à Moscou – le monastère de Novodiévitchi. Reprendre les qualificatifs précédents : bulbé, doré, iconisé, bref splendide.


Et balade dans le cimetière ombragé attenant, le Père Lachaise du coin, où reposent la moitié des noms russes qu’on connaît à nous deux – des noms plutôt techniques ou politiques pour Joe (Tupolev, Iliouchine, Motolov, Khrouchtchev, …), plutôt artistiques pour moi (Chostakovitch, Rubinstein, Boulgakov, Eisenstein, …). Un nombre impressionnant de Popov et Ivanov, les Durand et Martin d’ici.

Une petite pensée particulière pour Christine et Antonin devant la tombe de Persianinov, l’inventeur de la couveuse pour bébé.


Un clin d’œil à Renaud pour Iliouchine et Tupolev – même si sur tes bons conseils, nous ici, on prend le train !

mercredi 22 août 2007

Serguei Possad – bulbes dorés la suite


Petite escapade dans l’Anneau d’Or pour admirer la Laure de Saint Serge (une Laure c’est en résumé un monastère distingué saint entre les saints), dans lequel, outre admirer quelques magnifiques bulbes et icônes, on a pu assister avec une pointe non dissimulée d’effroi à quelques démonstrations de dévotion sans borne : récupération d’eau bénite, interminable procession de fidèle attendant de pouvoir baiser le tombeau contenant la dépouille de Saint Serge, ou foule exaltée se lançant sur le pope pour lui baiser les mains, attirer son regard, demander sa bénédiction.


Des bulbes plein les mirettes…

mardi 21 août 2007

Bulbes dorés encore


Et difficile de trouver plus imposant : la cathédrale du Christ Sauveur (tiens, un nom bien commun finalement). Il y a vingt ans, en ce lieu, se trouvait la plus grande piscine de Moscou, un trou aussi profond que la cathédrale est haute ou presque. La cathédrale n’est qu’une reconstruction – à l’identique – de l’original datant du dix-neuvième. Car en 1931, Staline, excédé par ce symbole religieux l’a rasé pour construire un palais à la gloire du communisme – un palais trop ambitieux, les berges de la Moskva n’auraient jamais supporté son poids, les caisses de l’état probablement pas non plus, et du coup, il n’a jamais vu le jour… mais quand ils s’en sont rendu compte, la cathédrale était rasée et les fondations du palais creusées. Alors, ils en ont fait une piscine.
Comme d’autres monuments ayant connu le même sort, la cathédrale a bénéficié d’un élan de « retour à avant » dans les années 90 et a été reconstruite. Copie ou pas, il faut bien admettre qu’elle en impose, à l’extérieur comme à l’intérieur : marbres, peintures, dorures et icônes, icônes, icônes.
Pour le reste de l’après-midi, suffit les « icôneries » : direction le Musée des Beaux-Arts Pouchkine pour admirer quelques chefs-d’œuvre internationaux (Monet, Manet, Picasso, Renoir, Chagall, …)

lundi 20 août 2007

On y est vraiment

On est vraiment à Moscou : visite du Kremlin aujourd’hui. A l’intérieur des rouges remparts, débauche de coupoles, bulbes, croix orthodoxes, le tout doré et scintillant.


Quelques bâtiments officiels tout de même, mais moins que d’église, chapelles ou cathédrales. Au fait, plus fort que Staline encore : Catherine II - elle a fait détruire une partie de la muraille du Kremlin pour se faire construire un palais ; le palais n’a finalement jamais vu le jour, alors, elle a fait reconstruire la muraille à l’identique. Staline lui, il se contentait de démolir (voir commentaires sur la place rouge, la cathédrale).

Notre quartier

Un quartier plutôt tranquille, où de jour, les babouchkas écrasées de chaleur surveillent leurs bambins galopant dans les squares, visiblement peu incommodés par la température, eux.

Le vendeur de rafraîchissantes pastèques fait fortune : en moins d’une semaine sa baraque est vidée.









Les tournesols s’épanouissent (avec une petite pensée (macro)photographique pour Florent).



De nuit, les trente-cinq degrés, c’est un peu plus rude, à quoi s’ajoutent quelques concerts de klaxons d’alarmes de voiture, et le frigo agonisant qui tourne à plein régime avec un bruit de moteur diesel.

Parfois, un bon orage rafraîchit l’atmosphère – mais ce n’est arrivé qu’une fois en 10 jours. Bref, nous avons enfin rattrapé l’été.

dimanche 19 août 2007

Touristes

Suffit les démarches – aujourd’hui, dimanche, on fait du tourisme, du vrai. Direction le marché Ismaïlovo – difficile de faire plus touristique. Des baraques genre « la Russie vue par Walt Disney », où se trouve un marché aux puces : vente de souvenirs, fausses antiquités, vraies kitscheries, bric-à-brac divers.


samedi 18 août 2007

De l’art d’acheter un billet de train

Ou plus exactement de l’art de faire la file, patiemment, en tenant compte des horaires d’ouverture du guichet, des heures de pauses déjeuners, des heures de pauses de 15 minutes (élastiques, on a pu vérifier) – tout cela ayant toutefois le bon goût d’être noté sur la vitre du dit guichet -, du nombre de personnes déjà dans la file et ainsi de la probabilité - selon ce nombre et les horaires précédemment cités - que le guichet ferme juste quand on arrive devant…

Pendant ce temps, relire patiemment le petit papier sur lequel on a noté qu’on souhaiterait avoir « deux billets pour Vladimir partant le 24 s’il vous plaît », en sachant que de toute façon, on finira par le glisser dans la fente du guichet plutôt que de risquer de faire perdre un peu de sa précieuse patience à la guichetière en tentant d’en réciter le texte. Et préparer toutes les pages du guide de conversation se rapportant de près ou de loin à un trajet quelconque (aller simple, quels sont les horaires, troisième classe, zut, comment dit-on assis déjà ?, …)

En théorie, suivre scrupuleusement les deux premiers paragraphes (et sourire) devrait suffire à l’achat d’un billet – la pratique diffère quelque peu. Une fois devant le guichet ouvert, le papier passé, ça se complique ; pour une raison bien obscure, la guichetière ne peut pas ou plus nous vendre des billets pour le train qui nous convient (repéré au préalable sur le tableau d’affichage, je l’ai oublié dans le premier paragraphe).

Après trois passages à trois guichets différents, on démêle doucement la pelote : OK, le train repéré (à 14h) ne contient plus que des couchettes, au triple du prix d’une place assise dans le train de 18h.

Sauf que partir à 18h, ça veut dire arriver tard à Vladimir. Passage alors dans une autre gare de Moscou (et oui, les billets se vendent dans leur gare de départ uniquement…) pour tenter une autre compagnie, un autre train, un autre horaire. Pas mieux (train à 23h30).

Va pour un départ à 18h de la gare précédente, à un tarif raisonnable. Retour à la gare initiale donc pour un quatrième et dernier passage au guichet. Le croirez-vous : on a même poussé le vice jusqu’à tenter d’acheter le billet de train suivant (Vladimir-Gorki), mais la guichetière elle-même nous a conseillé de l’acheter à Vladimir.

Début de l’aventure à 15h30 – billets en main à 19h. Une bien belle journée…

vendredi 17 août 2007

Démarche encore

Aujourd’hui, grande opération de récupération de nos billets de Transsibérien (préalablement commandé sur Internet) – une bien belle (et longue) promenade dans des quartiers labyrinthiques du Moscou inconnu des touristes (et il y a une bonne raison à cela).

Après quoi, il nous restait un tout petit peu de temps ; balade dans le quartier Kitaï Gorod qui se terminera sur la place Rouge.

Le pays où les Logans sont des Renaults

Et où l'on croise plus de voitures de luxe allemandes que de Ladas.

jeudi 16 août 2007

Les stations de Metro à Moscou

C’est propre et stylé, tout comme ils disent dans les guides…
















Un visa pour la Mongolie en 45 minutes !

L’activité pour notre premier jour a été de faire faire un visa pour la Mongolie. Nous voila donc partis pour le quartier de l’Arbat, fort touristique et bien pourvu en ambassades et consulats de toutes sortes (donc en jolis édifices !). Nous trouvons facilement celui de Mongolie mais il est 14h et c’est la pause nous fait comprendre l’employé à l’entrée. Un « bussiness lunch » dans un resto du quartier plus tard nous re-voilà au consulat. Là, devant un guichet fermé, nous découvrons que les déposes de demandes de visas ne se font que le matin… bon on reviendra demain matin ! Et au moment de tourner les talons, le store du guichet se lève et une fort aimable dame parlant l’anglais nous demande ce que l’on veut. On lui explique et elle se met alors à nous poser tout un tas de questions :

- Quand allez vous en Mongolie ?: le 11 septembre

- Depuis où ?: Irkutsk

- Quand êtes vous arrivés en Russie ?: hier

- Combien de temps comptez vous passer en Mongolie ?: bof, 10 à 20 jours, ça dépend

- De quel pays êtes vous ?: La France !!

- Avez-vous un visa pour la Chine ?: Oui

- Où allez vous loger en Mongolie ?: Zaya Guesthouse (un nom vu dans le Lonely et cité au pif)

- Avez-vous une réservation ?: Ben non

- Avez-vous une invitation ?: Non plus

- Voulez vous un visa express ?: Ca dépend, c’est combien ? délivré en combien de temps ?

- 1800 Roubles (environ 50€) et dans 45 minutes !

Sachant qu’un visa délivré en une semaine par l’ambassade de Mongolie à Paris coute 60€ et qu’il vaut mieux réduire au maximum la durée de balade à Moscou sans passeport, nous nous empressons de remplir les formulaires et de régler.

By the way, le guichet n’étant pas pratique, nous passons derrière et entrons dans le bureau, c’est plus convivial.

Nous repartons donc à 16h avec nos visas en poche et 3600 roubles de moins. Bonne opération.

Bon baisers de Russie

Arf! depuis le temps que je voulais la faire celle la…

Enfin, nous sommes bien arrivés !

Excellent vol Stuttgart-Moscou Domodedovo avec Air Berlin, avion (A319) nickel, largement assez de place pour les jambes et sandwich plus boissons en prime : bref, de la low cost de luxe !

Quelques essais et un peu de jugeote pour comprendre comment téléphoner depuis une cabine à Moscou (il faut appuyer sur l’obscur bouton « OTBETb », après que le correspondant ait décroché, pour prendre la ligne).

Levik, le correspondant de HOFA nous attend au terminus de l’Aeroexpress puis nous conduit à l’autre bout de Moscou pour prendre possession de notre logement. Nous arrivons dans une zone d’immeubles d’habitation située à trois stations de métro du centre. Au pied d’une des barres, une vielle dame nous attend, c’est dans son appartement que nous logerons. Elle nous laisse un appartement F1 tout équipé au 15ieme étage avec vue sur les immeubles voisins.

Levik nous donne les papiers permettant de justifier que nous sommes enregistrés auprès de la milice dans chacune des villes visitées en Russie, ce qui devrait éviter de se faire taxer par les policiers sur la place Rouge. Il nous remet aussi des enveloppes contenant les payements pour les trois prochaines familles qui nous hébergeront. Après avoir payé le séjour, nous voila maitres des lieux.

Quelques courses dans un des nombreux supermarchés du quartier et nous voilà à 22h en face de notre premier repas moscovite : harengs, cornichons « malossols », salade de choux de la mer (algues) et fromage insipide.

Balade sur l’Arbat

Allez, je l’avoue … l’Arbat m’a déçue. L’Arbat, c’est LA rue de Moscou. Avenue piétonne bordée de jolies bâtisses et à l’ambiance touristique quoiqu’agréable, mais allez savoir, après la manière dont cette rue a été encensée, j’attendais autre chose (ne me demandez pas pour autant quoi !)

Par contre, rien à redire dans le quartier tout autour et notamment vers le nord, avec de magnifiques édifices Art Nouveau, la palme revenant à la maison-musée de Gorki : une splendeur.

lundi 13 août 2007

Lectures d'avant départ

La Molvanie un bien beau pays.
Dommage que les autres titres ne soient pas encore traduits en français.




Manuel de survie, un bouquin sérieux rédigé par des pros où on apprend entre autres comment lutter contre un alligator, sauter d'une voiture en marche, pratiquer une trachéotomie ou faire du feu sans allumettes






Fait partie du package du stage anti stress d'Air France. Lecture tres rassurante.


Un sujet brulant traité dans le plus grand sérieux par une spécialiste. Nous servira beaucoup en Nouvelle Zélande lors de notre trip en camping car (sans toilettes).











Merci à ceux et celles qui nous ont approvisionnés en lectures préparatoires.

dimanche 12 août 2007

Trajet Afrique

Les Visas

Pour ce voyage nous aurons besoin de visas pour 5 pays :

La Russie

Le pays le plus compliqué puisqu’il faut une invitation, une confirmation de payement du voyage, un itinéraire détaillé car le séjour dure plus de 15 jours et une attestation d’assurance.

Pour l’invitation, la confirmation de payement et l’itinéraire détaillé, il faut passer par une agence de voyage enregistrée par le gouvernement et payer pour ce service (65€ pour 2 personnes avec HOFA).

Les données de ces documents sont inexacts dans la mesure où nous allons loger chez l’habitant et que les dates des étapes et de train ne sont pas fixées. Le visa est établi pour la durée maximale : 30 jours et on ajustera sur place.

Pour l’attestation d’assurance, il nous a suffit de la demander à Inter Mutuelle Assistance qui travaille avec la Filia Maif.

Pour l’obtention du Visa, passage au consulat de Russie à Strasbourg, un délai de 7 jours et 35€ par visa. Il est possible d’obtenir le visa en une journée (nombre de visas « express » quotidiens limité) en payant double.

La Mongolie

60€ le visa à l’ambassade à Paris, nous décidons de le faire en route à Moscou ou Irkoutsk.

Pour le visa en France il faut produire un certificat d’assurance qui est rédigé en français, je ne sais pas s’il est demandé en Russie.

La Chine

C’est tout simple, un formulaire, une photo, 35€ et c’est réglé en 7 jours au consulat de Chine à Strasbourg.

Pas besoin d’autres justificatifs.

Le Vietnam

Nous allons tester le « visa upon arrival », on récupère son visa au point d’arrivée en ayant au préalable obtenu une copie électronique d’une autorisation du gouvernement vietnamien. Cela se fait en passant par une agence de voyage moyennant 35 USD par demande.

La délivrance du visa à l’arrivée coute alors 25 USD.

Ce processus a l’air très récent, espérons qu’il fonctionne correctement.

L’Australie

Il s’agit d’un enregistrement préalable par internet appelé ETA (Electronic Travel Authority) qui est valable durant 1 an.

Au final, c’est juste une taxe d’entrée d’environ 14€ (20 AUD).

Trajet Polynésie

Il manque les étapes sur Tahiti



L'exploraseur ou l'art d'ennuyer...

Petite lecture caustique nous donnant toutes les clés pour que ce blog soit le plus ennuyant possible.
Merci Maya!

Trajet Amérique du Sud

Beaucoup d'incertitudes pour cette partie, tout dépendra du temps alloué à chaque étape ainsi que des durées des trajets.

dimanche 5 août 2007

Blague blog

Un blog, c'est aussi un peu ça:

Merci Grimmy!

Trajet Australie-Nouvelle Zélande