lundi 20 août 2007

Notre quartier

Un quartier plutôt tranquille, où de jour, les babouchkas écrasées de chaleur surveillent leurs bambins galopant dans les squares, visiblement peu incommodés par la température, eux.

Le vendeur de rafraîchissantes pastèques fait fortune : en moins d’une semaine sa baraque est vidée.









Les tournesols s’épanouissent (avec une petite pensée (macro)photographique pour Florent).



De nuit, les trente-cinq degrés, c’est un peu plus rude, à quoi s’ajoutent quelques concerts de klaxons d’alarmes de voiture, et le frigo agonisant qui tourne à plein régime avec un bruit de moteur diesel.

Parfois, un bon orage rafraîchit l’atmosphère – mais ce n’est arrivé qu’une fois en 10 jours. Bref, nous avons enfin rattrapé l’été.

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