dimanche 28 octobre 2007

Centre de Rétention d’information touristique

Arrivée matinale à Kobe. L’office du tourisme est encore fermé. Deux options : mettre nos sacs en consigne et commencer à arpenter une ville encore endormie, ou prendre un café en attendant le réveil (le mien compris…).

Un café et un thé plus tard, nous voici devant le comptoir de l’office du tourisme, pour glaner quelques informations sur la ville, mais surtout trouver un logement, vu qu’au Japon, ça ne se fait pas vraiment de débarquer dans un « ryokan » sans coup de fil préalable. Et là, mauvaise surprise : la dame est souriante, mais nous affirme qu’il n’y a pas de ryokan à Kobe ! Par contre, en ce dimanche soir, nous pouvons bénéficier de réductions substantielles dans de grands hôtels. Les tarifs sont réduits, mais encore trop élevés pour notre budget – les deux auberges de jeunesse n’ont que des dortoirs ou sont particulièrement éloignée du centre ville. Pourtant, sur internet, on en a repéré nous, un ryokan, on lui signale à tout hasard son nom. Ah oui, bien sûr, elle le connaît, nous donne l’adresse et le numéro de téléphone – mais refuse de téléphoner pour nous (service que propose pourtant tout office du tourisme au Japon) !

Eh bien tant pis, on se passera de leur (non) aide, mais leur réaction est un peu scandaleuse… Heureusement, il reste de la place dans le ryokan et les propriétaires charmants n’ont pas l’air embarrassé de nous voir débarquer aussi tôt sans avoir prévenu.

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