mardi 4 décembre 2007

Allez, on reste

Juste parce que changer le vol semble encore plus pénible que de le garder tel que ! On va essayer de composer avec ce pays malgré tout – et si possible, avec le sourire… Il faut bien dire que le médoc antipalu que l’on ingurgite n’améliore sans doute pas notre façon d’envisager les choses : ses effets psychotropes et « dépressifs » (ou dépresseurs ?) sont notoires – effet supplémentaire : je passe mes nuits à cauchemarder (quand j’arrive à dormir), et ces courtes nuits affectent sérieusement mon optimisme et ma bonne humeur.

Sourire et se répéter « bo pe niang » (« c’est pas grave, ça ne fait rien »), devise apprise au Laos (pays où rien n’est vraiment fiable … mais où les gens sont honnêtes avec les touristes !)

Il est 9h00, l’agence qui nous a vendu les billets de train doit être ouverte, il est temps d’aller y faire un petit scandale – soyons honnête (nous), ça ne changera strictement rien pour personne, mais je crois que ça nous fera du bien de leur déballer quelques insultes. Promis, promis, on mettra en application notre résolution de tenter de sourire et composer… juste après !

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